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fondation jean jaures - Page 20

  • Fondation Jean Jaurès - Comment se sentir européen ?

    Depuis dix ans, la question de l’identité est au cœur du débat intellectuel français. L’idéal européen de l’après-guerre est à bout de souffle (montée des populismes, Brexit...). Dans ce contexte, comment raconter l’Europe ? Comment faire vivre la mémoire européenne et s’y rattacher ?

    Qui sommes-nous, nous Européens ? D’où venons-nous et où allons nous ? L’Observatoire de la culture de la Fondation Jean-Jaurès en débat avec l’historien Étienne François, qui a dirigé l’ouvrage "Europa notre histoire" (Les Arènes, 2018), qui dialogue avec Chloé Ridel, haute fonctionnaire et membre du Groupe d’études géopolitiques de l’ENS.

  • Fondation Jean Jaurès - Inventaire 2012-2017 : retour sur un quinquennat « anormal »

    Quel bilan peut-on faire du quinquennat de François Hollande ? Comment expliquer que les socialistes soient passés, en l’espace de cinq ans, d’une situation où ils avaient tant de pouvoirs nationaux et locaux à un risque de disparition ? Voilà les deux questions auquel l'ouvrage « Inventaire 2012-2017. Retour sur un quinquennat ‘anormal’ » apporte des éléments de réponse. Retrouvez-en une présentation vidéo de Gilles Finchelstein, directeur général de la Fondation Jean-Jaurès, qui a co-dirigé, avec Alain Bergounioux, de l’ouvrage (Maud Fassnacht et Mathieu Souquière en ont été les rapporteurs).

  • Fondation Jean Jaurès - Comment se sentir européen ? Débat avec Étienne François en direct le 9 novembre à 18h30

    Depuis dix ans, la question de l’identité est au cœur du débat intellectuel français. L’idéal européen de l’après-guerre est à bout de souffle (montée des populismes, Brexit...). Dans ce contexte, comment raconter l’Europe ? Comment faire vivre la mémoire européenne et s’y rattacher ? Qui sommes-nous, nous Européens ? D’où venons-nous et où allons nous ? L’Observatoire de la culture de la Fondation Jean-Jaurès en débat avec l’historien Étienne François, qui a dirigé l’ouvrage "Europa notre histoire" (Les Arènes, 2018), qui dialogue avec Chloé Ridel, haute fonctionnaire et membre du Groupe d’études géopolitiques de l’ENS. La rencontre est animée par Karine Gloanec Maurin, codirectrice de l’Observatoire de la culture de la Fondation Jean-Jaurès.

  • Fondation Jean Jaurès - Comment imaginer en politique ? Images et imagination socialistes au temps de Jaurès par Christophe Prochasson

    Étudier les images des socialistes revient aussi à prendre les idées comme autant d’émotions engendrant les figures de l’avenir. Tout aussi marié à la science que fut le socialisme, il reste aussi une doctrine dont les adhérents font des rêves peuplés d’images. C’est ce que l’historien Christophe Prochasson, président de l’EHESS, rappelle dans cette note issue de la conférence qu’il a donnée aux Rendez-vous de l’histoire de Blois en 2018 à l’invitation de la Fondation et de la Société d’études jaurésiennes. 

    Au temps de Jaurès, le monde politique est d’abord un univers de mots. La République parlementaire a fait de la parole le principal instrument de l’action : le discours règle et organise les confits, distribue les rôles et définit les identités. Il assigne les places, comme le fit dès ses débuts la Révolution française en distinguant ceux qui s’installaient dans la partie gauche ou dans la partie droite de l’hémicycle.

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  • Fondation Jean Jaurès - Retour sur l'actualité des Balkans

    Référendum en Macédoine et dialogue entre la Serbie et le Kosovo : Jean-Arnault Dérens, rédacteur en chef du "Courrier des Balkans", et Laurent Geslin, géographe et journaliste, tous deux auteurs de "Là où se mêlent les eaux. Des Balkans au Caucase, dans l'Europe des confins" (Éditions La Découverte, 2018), font le point de l'actualité qui a agité les Balkans ces dernières semaines. Ils sont interrogés par Sébastien Gricourt, directeur de l'Observatoire des Balkans de la Fondation Jean-Jaurès.

  • Fondation Jean Jaurès - Brésil : la menace de l’extrême droite

    Après le premier tour de l’élection présidentielle au Brésil, le 7 octobre 2018, la position de favori du candidat d’extrême droite Jair Bolsonaro fait peser une très grande menace sur la démocratie. Quelles seraient les conséquences de sa victoire ? Carol Proner, avocate et professeure de droit international à l’Université fédérale de Rio de Janeiro, livre son analyse à Jean-Jacques Kourliandsky, directeur de l’Observatoire de l’Amérique latine de la Fondation Jean-Jaurès.

  • Fondation Jean Jaurès - Portrait-robot des sympathisants du Parti socialiste

    S’appuyant sur les données du panel que le Cevipof et Ipsos ont lancé depuis novembre 2015, le directeur général de la Fondation Jean-Jaurès, Gilles Finchelstein, dresse, dans cette étude inédite menée à partir d’un échantillon sans équivalent de 1058 sympathisants socialistes, un véritable portrait-robot. Elle permet de comprendre qui ils sont, ce à quoi ils croient et leurs positions sur les principaux enjeux politiques.

  • Fondation Jean Jaurès - Appel à la solidarité avec le Brésil : la démocratie en danger

    La Fondation Jean-Jaurès, membre du Comité international pour la libération de Lula et la démocratie au Brésil, parraine un appel à défendre les libertés et les droits humains menacés par un candidat d’extrême droite à l’élection présidentielle. La Fondation, au nom de ses engagements démocratiques et républicains, vous invite à participer à cette campagne de solidarité.

    Les puissants de l’économie, des finances, de l’agro-industrie, de l’établissement social et médiatique, soutiennent au Brésil un candidat présidentiel, Jair Bolsonaro, qui propose un grand retour en arrière.

    Un retour vers un Brésil de violences, un Brésil raciste, xénophobe, misogyne, intolérant, inégalitaire, des privilégiés, hier maîtres des habitations et reléguant les esclaves dans leurs cases.

    Le Brésil a reconquis dans la douleur ses libertés après vingt-un ans de dictature militaire. De 1964 à 1985, les Brésiliens ont vécu tortures, assassinats, disparition, incarcérations, exil, suspension de la liberté d’expression, du droit de manifester, du droit de s’organiser.

    Jair Bolsonaro fait l’apologie publique de la dictature, de la torture, du viol, du meurtre, de l’intolérance. Plaçant son Dieu vengeur et cruel au-dessus de la démocratie et des hommes, il refuse le débat avec son adversaire du deuxième tour.

    L’enjeu du deuxième tour, le 28 octobre 2018, va bien au-delà des étiquettes partisanes. Ce qui est en jeu, ce n’est ni le Parti des travailleurs de Haddad et Lula, ni le PSL de Bolsonaro. C’est la liberté, la vie, la sécurité, la dignité, la démocratie.

    Nous, démocrates français du Comité de solidarité internationale en défense de Lula et de la démocratie au Brésil, affirmons : sauver la démocratie brésilienne aujourd’hui, c’est voter sans état d’âme Fernando Haddad.

  • Fondation Jean Jaurès - Portrait-robot des sympathisants du Parti socialiste

    S’appuyant sur les données du panel que le Cevipof et Ipsos ont lancé depuis novembre 2015, Gilles Finchelstein dresse, dans cette étude inédite menée à partir d’un échantillon sans équivalent de 1058 sympathisants socialistes, un véritable portrait-robot. Elle permet de comprendre qui ils sont, ce à quoi ils croient et leurs positions sur les principaux enjeux politiques.

    Quelques chiffres

     
     
    • 9 % des Français se disent proches du PS (14 % LREM et LR ; 13 % FN ; 7 % FI ; 25 % aucun parti)
    • En 2017, 25 % des sympathisants socialistes ont été des électeurs socialistes ; ils étaient plus de 75 % en 2012 et 2015
    • 59 % des sympathisants du PS jugent le bilan d’Emmanuel Macron « assez » ou « très » négatif (55 % chez l’ensemble des Français ; 93 % chez les sympathisants de la FI)
    • 70 % des sympathisants socialistes pensent qu’Emmanuel Macron et son gouvernement sont trop autoritaires dans la mise en place des réformes et ne laissent pas assez de temps à la négociation (55 % chez l’ensemble des Français, 43 % chez les sympathisants LR, 18 % pour les sympathisants LREM)
    • Pour 89 % des sympathisants du PS, la politique économique et sociale profite avant tout aux catégories aisées (76 % chez l’ensemble des Français, 95 % chez les sympathisants de la FI)
    • 80 % des sympathisants du PS ont le sentiment que le pouvoir politique est soumis aux puissances économiques (79 % chez l’ensemble des Français ; 78 % chez les sympathisants de la LREM)
    • 19 % des sympathisants du PS estiment qu’il faudrait réduire le nombre de fonctionnaires (contre 52 % chez les sympathisants LREM, 66 % chez les sympathisants LR)

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  • Libé - Le Parti socialiste a le «halo» loin du «noyau»

    D’impénitents optimistes en voie de disparition rapide. C’est le portrait-robot des sympathisants socialistes que la Fondation Jean-Jaurès (FJJ) vient d’établir après une enquête auprès d’un millier d’entre eux, issus d’un panel de 12 500 personnes. En 2012, à la victoire de François Hollande, 22% des Français se disaient proches du PS. Six ans et une catastrophe présidentielle plus tard, cette base électorale socialiste - à ne pas confondre avec les militants encartés - a rétréci de plus de moitié : ils ne sont plus que 9%.

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  • Fondation Jean Jaurès - Le socialisme municipal de la Commune à la Grande Guerre

    Patrizia Dogliani, professeure d’histoire contemporaine à l’université de Bologne, publie Le socialisme municipal en France et en Europe de la Commune à la Grande Guerre (Arbre bleu, 2018), un ouvrage issu de sa thèse enfin disponible en français. Les municipalités sont les lieux où les socialistes sont confrontés à la gestion, au pouvoir, à la représentation. Elle en débat avec Emmanuel Jousse, docteur en histoire, auteur récemment de Les hommes révoltés (Fayard, 2017).